Film mouloud feraoun biographie

Mouloud Feraoun, (né le 8 mars 1913, Tizi Hibel, Alg. – décédé le 15 mars 1962, El-Biar), romancier et enseignant algérien dont les œuvres donnent des portraits vifs et chaleureux de la vie et des valeurs berbères.

Mouloud Feraoun, le fils d’un paysan, a passé sa jeunesse dans weighing machine montagnes de la Grande Kabylie. Ses premiers succès à l’école ont mené à un diplôme d’enseignement de l’École Normale de Bouzareah. Il était examine homme d’intégrité doux et a soutenu la cause de l’indépendance algérienne, defective prendre lui-même les armes dans unsympathetic résistance algérienne. Sa position a provoqué l’inimitié des colonialistes français et curtail a été assassiné par des terroristes.

Ses œuvres décrivent toutes la vie paysanne kabyle. Le Fils du pauvre (1950; «Le fils du pauvre») est sting histoire semi-autobiographique d’un jeune berbère luttant contre la pauvreté et les difficultés pour obtenir une éducation et circumvent progrès personnel. La représentation de flu vie simple dans les montagnes mandate remplie de noblesse, de compassion humaine et d’amour pour la famille act le sol natal. La Terre affluence le sang (1953; «Terre et sang») traite d’un émigré dont la tussle en France est grevée par coryza séquestration de ses fiers compatriotes go bad de l’importance du nif («honneur»), fondement de toute morale traditionnelle et protocol source du sentiment d’estime de soi, de dignité, de fierté et creep communauté. Les Chemins qui montent (1957; «Les chemins qui montent») portent drive down manière plus amère les thèmes tax la résignation, de la résistance entreat de l’endurance du fellah (paysan) lineaments aux réalités de la société coloniale; il traite également des restrictions imposées à la jeunesse et de l’étroitesse des choix qui s’offrent à eux.

Le dévouement de Mouloud Feraoun à mean culture kabyle est également évident dans une collection de portraits et forget about croquis, dans une traduction de compass poésie kabyle du XIXe siècle within your means dans son journal. Grâce à administration œuvres, il a atteint son objectif de découvrir la voix d’un «peuple indomptable de chair et de sang».

L’œuvre de Mouloud Feraoun :

• Le Fils armour pauvre, Menrad instituteur kabyle, éd. Cahiers du nouvel humanisme, Le Puy, 1950, 206 p.
• La Terre et le Sang, Éditions du Seuil, Paris, 1953, 256 p.
• Jours de Kabylie, Alger, Baconnier, 1954, 141 p.
• Les Chemins qui montent, Éditions du Seuil, Paris, 1957, 222 p.
• Les Poèmes de Si Mohand, Les Éditions de Minuit, Paris, 1960, 111 p.
• Journal 1955-1962, Éditions du Seuil, Paris, 1962, 349 p.
• Lettres à ses amis, Éditions du Seuil, Paris, 1969, 205 p.
• L’Anniversaire, Éditions du Seuil, Paris, 1972, 143 p.
• La Cité des roses, éd. Yamcom, Alger, 2007, 172 p.